La journée mondiale de la justice sociale est prévue le samedi 20 février. C’est une opportunité de célébrer cette journée car le monde a été témoin pendant la pandémie due à la Covid-19 d’une énorme souffrance et d’inégalités nécessitant une réponse.

Dans les vœux pour la Nouvelle Année du Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres a parlé de ce que beaucoup de Personnes éprouvent.

« Pauvreté, inégalité, et faim augmentent. Le travail disparaît et les dettes s’accroissent. Les enfants sont en difficulté. »

Monsieur Guterres a dit que la violence domestique est en hausse, et que l’insécurité règne partout. Mais il a aussi perçu une lueur d’espoir : des Personnes solidaires de leurs voisins et des Étrangers, des intervenants de première ligne qui font le maximum, des scientifiques développant des vaccins en un temps record, des pays prenant de nouveaux engagements pour prévenir les catastrophes climatiques.

« Si nous travaillons ensemble dans l’unité et la solidarité, ces lueurs d’espoir peuvent rayonner dans le monde entier. »

Les Personnes qui se regroupent pour traiter des questions sociales peuvent avoir un énorme impact. C’est pourquoi la Famille Vincentienne participe ce mois-ci à la 59^ème Commission du Développement Social. Lors de cette Commission, nous plaiderons en faveur d’une juste transition sociale dans cette ère de la Covid, celle où les droits humains sont respectés, la protection sociale assurée à ceux qui en ont besoin, la pauvreté endiguée, où tous ont accès à l’internet et plus encore… La Commission se tient du 8 au 17 février.

Nous savons que toutes les Filles de la Charité dans le monde nous soutiennent pour plaider en faveur de la justice sociale, qu’il s’agisse du travail avec les Migrants et les Réfugiés, dans l’organisation des soupes populaires, dans l’aide apportée aux Personnes sans-abri, avec les femmes maltraitées, à l’éducation des enfants, dispensant des soins de santé et autres formes de service. Car la justice sociale et la fin des inégalités est ce qui peut éradiquer la pauvreté. Puissions-nous tous être les lueurs d’espoir dont parle Mr. Guterres.